Where does it come from?

Le capitaine de l’Irlande croit que la fierté de l’Irlande, en jouant à la maison le lendemain de la Saint-Patrick, rend la victoire plus importante que de nier l’Angleterre du Grand Chelem
Il y a six semaines, avant que les Six Nations ne commencent, on demande à Eddie Jones s’il avait un œil sur une fusillade du Grand Chelem contre l’Irlande. Il a immédiatement écarté la question, insistant pour qu’il ne regarde pas au-delà de la rencontre de rideau contre la France parce que Dublin était loin.

Avec chaque semaine est venu le changement d’orientation. Premier Pays de Galles, puis l’Italie – qui s’est avéré une tâche délicate – avant Ecosse ont été mis de côté dans la plus brutale des modes. Et maintenant nous sommes ici, à Dublin, où l’Angleterre a la chance de gagner le Grand Chelem pour la deuxième année consécutive. La seule surprise est que l’Irlande ne le font pas.

Jones peut avoir exagéré cette semaine quand il a dit «J’ai lu toutes vos prédictions et l’Irlande étaient favoris», mais il a raison de noter qu’ils étaient censés au moins être difficile pour le titre, sinon le Grand Chelem. La défaite du week-end d’ouverture par l’Écosse a terminé les espoirs de Slam tôt, et la perte de vendredi dernier au Pays de Galles a confirmé la fin de leur défi de titre une fois que l’Angleterre avait vu outre des Écossais.